Qualité
Nos miels d’exception provenant de nos ruches sont extraits et conditionnés
à froid dans notre miellerie située en Provence, dans le massif de la
Sainte-Baume, en respectant un protocole sanitaire exigeant.
Traçabilité
Pour une totale traçabilité nous décrivons l’ensemble des étapes allant de
nos lieux de butinage, jusqu’à notre site d’extraction et de conditionnement
depuis notre miellerie.
Analyses
Nous garantissons l’absence totale de substances contestables; pesticides
(multirésidus GC 150), métaux lourds (plomb, cadmium, arsenic,
mercure) et ETM. Nous mettons à disposition les
analyses réalisées chaque saison, par un laboratoire indépendant, pour
chacun de nos miels.
Nos miels ont reçu la mention “Confiance BioActif”
délivrée par l’Observatoire Français d’Apidologie.

Notre passion, LES ABEILLES | Notre référence, LA NATURE | Notre valeur, LA CONFIANCE |
Il y a 100 millions d’années, la nature a instauré un contrat de vie
avec les abeilles en leur offrant les ressources alimentaires en nectar et
en pollen dont elles ont besoin pour vivre, profitant ainsi du transport du pollen par les abeilles, de fleurs en fleurs, pour permettre leur reproduction.
De ce contrat de vie entre la nature et les abeilles est née la biodiversité.
Et c’est ainsi que, depuis la nuit des temps, l’abeille c’est la vie.
L’abeille, la nature, la confiance, sont à l’origine de la qualification
«BioActif » délivrée par l’OFA aux miels, pollens et propolis provenant
des colonies d’abeilles de son réseau de testage.
Bio, pour le respect intégral de l’environnement et de la biodiversité.
Actif, pour l’assurance d’un bienfait réel sur le bien-être quotidien
L’OFA, 8 ans de réflexions et d’actions

8 années de réflexions au cours desquelles nous avons développé 8 axes d’intervention.
Nous avons constitué des exploitations apicoles expérimentales composées de 2.000 colonies réparties sur 65 ruchers en France.
Ces colonies nous permettent d’être en mesure d’étudier véritablement le comportement des abeilles et de tester les résultats de notre travail de sélection selon un protocole unique, connu et appliqué par toutes nos équipes. C’est la partie apidologie de l’OFA, conduite par sept apiculteurs-apidologues. Nous avons élaboré des cheptels de testage des performances avec Maxime Saniez en charge du contrôle de la qualité de reproduction des essaims et Jean-Christophe Tixier en charge du contrôle de la productivité de miel et des produits de la ruche de nos colonies.
Nous avons mis l’accent sur la sélection et l’élevage de reines et d’essaims.
La sélection est conduite sous la direction de Marine Adalid. Depuis que l’homme élève des animaux, il a repéré que certains individus de son cheptel présentaient de meilleurs résultats que d’autres. C’est ainsi qu’est apparue la sélection animale présente dans toutes les filières d’élevage. Les apiculteurs ont eu la nécessité d’améliorer l’aptitude de leur cheptel par le biais de qualités nécessaires au bon développement de leurs colonies et être en mesure de faire face ainsi à la dégénérescence du cheptel. Cette sélection favorise la résistance des colonies aux agressions extérieures et permet de diminuer l’importance du taux de mortalité actuellement constaté. La sélection est donc un moyen de garantir un développement sain des abeilles et par la même la survie des colonies. Nous avons aujourd’hui conscience que l’abeille et son environnement ont été malmenés par l’Homme et que pour répondre aux désastres qu’il a provoqué, l’Homme se doit cependant d’intervenir, tout en garantissant que son niveau d’intervention soit scrupuleusement étudié, réfléchi et contrôlé.
Nous avons mis les résultats de nos recherches sur la sélection à disposition des apiculteurs.
La sélection est un moyen de garantir un développement sain des abeilles et par la même la survie des colonies. Nous donnons aux apiculteurs la possibilité de se procurer nos essaims et nos reines. Nos travaux de sélection reposent sur des choix drastiques en sélectionnant la reine et le faux-bourdon afin qu’ils transmettent leurs caractères à leur descendance. Nous faisons tester la qualité de notre sélection par des apiculteurs indépendants et nous sommes heureux de constater qu’un grand nombre d’apiculteurs ont choisi d’adopter les reines et les essaims issus de notre sélection.
Nous avons conduit des recherches appliquées et plus fondamentales sur les bienfaits des produits de le ruche – miel, propolis, pollen – sur la santé humaine et sur le maintien et le respect de la biodiversité.
L’OFA a toujours enrichi chacune de ses actions avec une participation ou une réflexion scientifique. La recherche et le développement de solutions rapidement utiles au fonctionnement d’une exploitation apicole procurent aussi des arguments pour des débats concernant la défense de l’environnement et plus largement pour alerter sur des questions de santé humaine.
L’abeille est une sentinelle de l’environnement comme l’attestent de nombreuses publications scientifiques et techniques. L’abeille est aussi une sentinelle de la santé humaine.
En effet, nombre de substances toxiques agissent en bloquant tout ou une partie des fonctions physiologiques communes aux invertébrés et aux vertébrés, dont l’Homme. Si l’une de celles-ci se révèle déficiente chez l’abeille, alors le risque pour l’Homme et l’enfant devient probable. Si l’on prend rapidement des mesures pour limiter les concentrations des toxiques qu’on retrouve dans l’environnement ou l’alimentation, la probabilité d’un impact sur la santé humaine restera très faible. La protection du vivant dépend de l’application du principe de précaution. La question est de savoir s’il demeurera du domaine de la philosophie ou s’il s’appliquera concrètement par des décisions fortes pour un vrai respect de la vie.
L’OFA, contribue depuis sa création à ce débat sociétal par des travaux de recherche appliquée qui ont été conduits sous la direction de Marc-Édouard Colin en collaboration avec Jeremy Tabart, Vincent Piou, Dimitri Mougenot et Céline Pillot.
Depuis 2020, le docteur Jean-Michel Brunel, Phd, Hdr, CNRS, INSERM, de la Faculté de Pharmacie de Marseille, collabore sur les programmes de recherche scientifique l’OFA.
Avec Florence Bonsch, tous deux conduisent des travaux de recherche sur les bienfaits des produits de la ruche sur la santé humaine et ils interviennent actuellement sur la problématique de la lutte contre l’antibio-résistance. Ils conduisent également des expérimentations de traitement de la vigne à base de propolis en partenariat avec des exploitations apicoles et tout particulièrement celles de Moët Hennessy.
Part ailleurs, fort de notre implication dans le Concours National des Miels de France dont nous sommes partenaires, nos équipes œuvrent, sous la responsabilité de Marine de Lignac, à la revalorisation des miels de cru, en collaboration étroite avec des Chefs étoilés qui participent à nos côtés à la mise en valeur de ce précieux don des abeilles.
Nous avons mené des actions de sensibilisation auprès du grand public.
Nous œuvrons pour sensibiliser le plus grand nombre à l’importance du rôle de l’abeille. C’est ainsi que, sous la direction de Fabien Kouachi, nous avons créé la campagne nationale « DES FLEURS POUR LES ABEILLES ».
Cette campagne lancée en 2017 sous le Haut Patronage de SAS LE PRINCE ALBERT II DE MONACO, dont la fondation est partenaire de l’OFA, vient de fêter sa cinquième édition.
Avec des milliards de fleurs mellifères semées chaque année, cette campagne nationale a sensibilisée 12 millions de français selon les chiffres de l’étude Kantar réalisé à la demande de notre partenaire Val’Hor, qui est l’interprofession des professionnels du végétal.
Nous avons également créé « l’ÉCOLE DES ABEILLES » un programme de sensibilisation auprès des enfants pour leur faire découvrir le monde merveilleux des abeilles et leur expliquer l’importance de leurs actions pour la biodiversité.
En 2021 ce programme est devenu international avec des interventions en Belgique, au Royaume-Uni, au Pays-Bas, au Danemark et en Suède.
Nous allons créer une école de formation à l’apiculture au Rwanda.
Convaincus, avec SONIA ROLLAND, marraine de l’OFA, de la responsabilité revenant à ceux qui détiennent des connaissances et des compétences, d’avoir à les transmettre, nous avons décidé de créer des écoles d’apiculture situées, dans un premier temps, sur le continent africain.
La première école ouvrira en 2022 au Rwanda en partenariat avec une organisation locale ARDI.
Fort de son expérience acquise dans la formation, l’OFA considère que, comme tous les métiers de l’agriculture, l‘apiculture doit compter, plus que jamais, sur des apiculteurs ayant un bon niveau de technicité avec des compétences multiples. La OFA BEE ACADEMY a comme ambition de former des techniciens de l’apiculture connaissant les techniques de sélection, d’élevage et de production, afin d’être apte à créer son exploitation, la développer en la rendant pérenne et pouvoir ainsi, à son tour, créer des emplois et de la richesse.
Avec l’UNESCO et Guerlain nous avons mis en œuvre le programme WOMEN FOR BEES, une formation apicole spécifique destinée aux femmes à travers le monde, installée dans des zones de Biosphère de l’Unesco.
Avec notre partenaire la Maison Guerlain et l’UNESCO, et avec Angelina Jolie comme marraine, nous avons formé en 2021 8 Women for Bees qui participeront dès 2022 aux différents projets de l’OFA. Cette formation s’inscrit dans le programme Man and Biodiversty de l’UNESCO qui s’attachera à former chaque année des nouvelles apicultrices au sein des réserves de biosphère de l’UNESCO.
Avec GENERAL MILLS, YOPLAIT, BOTANIC, et l’ensemble de nos partenaires nous déve- loppons des actions en faveur des abeilles et de la biodiversité.
Pour citer deux exemples, avec nos partenaires General Mills et Yoplait, nous procédons à des actions visant à refleurir la France en semant chaque année des hectares de prairies fleuries mellifères et avec notre partenaire Botanic, nous faisons découvrir les bienfaits de nos miels d’exception en présentant dans l’ensemble de leurs magasins la gamme des miels produits par nos abeilles.
Au cours de ces 8 années de réflexions, nous avons abordé nos actions en prônant l’importance de faire rimer l’écologie avec l’économie.
Sur le plan écologique, malgré les formidables avancées, nous devront probablement continuer à faire face à des attitudes de négation des problèmes environnementaux, à l’indifférence et à la résignation de certains et à la confiance aveugle de ceux qui croient que les bouleversements qui sont est en train de se passer sur notre terre ne sont pas prouvés et que la planète résistera encore longtemps dans les conditions actuelles. En essayent de ne pas voir la dégradation de notre planète et en luttant même pour ne pas la reconnaitre, ils continueront à retarder les décisions importantes et continueront à se comporter comme si de rien n’était.
Il faudra donc continuer à agir afin que la liberté de l’économie ne puisse pas prévaloir sur la liberté de l’Homme, des animaux, et de la biodiversité qui les entoure.
Sur le plan économique, l’apiculture doit se développer et se professionnaliser afin que le déficit récurrent d’une sous-production annuelle de 20.000 tonnes de miel n’ait pas comme unique réponse l’importation massive de produits n’ayant du miel que le nom. Il faudra également réussir la mise en place et le respect de l’étiquetage qui permettra aux apiculteurs rigoureux et scrupuleux de valoriser leur production en obtenant un prix de vente digne de l’extraordinaire et difficile métier dont ils ont fait leur passion pour le plus grand bonheur de tous. Il est indispensable que le métier d’apiculteur et son sens de l’éthique soit revalorisé et que tout soit mis en œuvre pour faire découvrir aux nouvelles générations les bienfaits exceptionnels du miel et des produits de la ruche.
Il faudra développer les structures de formation professionnelle afin de transmettre les connaissances spécifiques et les techniques apicoles appropriées à la jeune génération afin qu’elle puisse disposer de tous les supports et accompagnements nécessaires pour être à même d’entrevoir leur avenir dans l’apiculture.
En 2022, face à l’impact de cette crise sanitaire, sociale et économique, l’OFA proposera à ces partenaires de les accompagner à se rapprocher de la nature.
Au cours de cette longue crise où nous avons été confrontés à des restrictions, nous avons pris conscience que certaines habitudes pouvaient disparaitre de nos vies sans que cela ne nous dérange trop. Nous avons été ainsi amenés à réfléchir sur ce qui est réellement indispensable à la vie de chacun, tant sur le plan personnel que sur le plan collectif.
Le fait d’avoir été obligé de mettre nos vies sur pause, nous a fait réaliser que nous vivions dans une agitation qui méritait de se calmer. Plus que jamais, nous avons pris conscience de la fragilité de nos existences et de l’importance que représente pour l’Homme l’équilibre de la nature.
La nature est une immense bibliothèque avec des milliers de livres qui nous donnent la plupart des enseignements dont nous avons besoin. Mais trop souvent nous ne savons ni les lire, ni comprendre leurs enseignements.
Pourtant les solutions sont là, autour de nous, car notre planète a développé 4,5 milliards d’années de Recherche & Développement au cours desquels elle a su tout comprendre et tout inventer.
Pour se préparer au monde d’après il faut savoir si nous sommes capables de transformer notre prise de conscience en actes refondateurs et savoir également si nous avons compris que l’adaptation et le changement nécessaires ne sont pas vraiment une option mais surtout une obligation.
Nous devrons être capable de relever ce défi ensemble.
En 2021, l’OFA proposera une série de conférences et d’échanges avec les collaborateurs des entreprises-partenaires qui nous soutiennent.
Ces rencontres auront lieu à la Sainte-Baume, au sein des infrastructures de l’OFA et également au sein des entreprises-partenaires. Elles permettront d’aborder et de comprendre l’importance de la nature dans l’équilibre de notre vie personnelle et professionnelle.
Ensemble avançons vers un monde meilleur et plus réfléchi.